Introduction : une réalité peu abordée en formation
Se lancer dans une activité de praticien du bien-être, c'est souvent un choix du cœur.
Envie de contribuer et d'apporter du mieux-être autour de soi…
Mais entre la passion et la réalité du terrain, il y a parfois un fossé.
En tant qu'ancienne praticienne en hygiène de vie et naturopathie, je l'ai vécu personnellement.
Et aujourd'hui encore, je suis frappée par un chiffre trop peu discuté :
80 % des praticiens du bien-être cessent leur activité avant la fin de la première année.
Pourquoi autant d'abandons ?
Comment éviter d'en faire partie si vous démarrez ?
Quelles erreurs peut-on anticiper, et comment mieux se structurer sans perdre son âme ?
C'est ce que nous allons explorer ensemble dans cet article, inspiré de ma vidéo ci-dessus.
1. Le rêve… puis la chute : les débuts parfois chaotiques des praticiens
Quand on se lance, on est souvent porté par une formation fraîchement terminée, une grande motivation, et la joie de pouvoir ENFIN faire ce pour quoi on est formé.
Mais très vite, la réalité rattrape les intentions :
- Peu ou pas de clients
- Des charges qui tombent dès le 1er mois
- Aucune visibilité
- Une gestion chronophage qu'on n'a pas apprise
- Et surtout : la solitude face à tout ça.
Et on se surprend à penser : « Je suis vraiment fait(e) pour ça ? »
Non, vous n'êtes pas seul(e). Et oui, vous êtes probablement fait(e) pour ça.
Mais sans cadre, on s'épuise.
2. Trois causes majeures d'abandon (que la formation ne vous dit très souvent pas)
2.1. L'isolement total du praticien indépendant
Dans la majorité des cas, les praticiens travaillent seuls : pas d'équipe, pas de hiérarchie, pas de collègues à qui poser des questions.
Et à force d'avoir la tête dans le guidon, on finit par perdre en clarté et en énergie.
"Même en étant passionnée, je me suis surprise à me sentir dépassée, seule, et parfois découragée.
Et je n'étais pas la seule : mes collègues de promo vivaient la même chose…"
2.2. L'absence de stratégie de visibilité
On se dit : "Je vais créer mon site, faire une page Insta, et les gens viendront…"
Mais la réalité, c'est que sans stratégie de communication claire,
les prises de rendez-vous sont trop rares.
Or, sans clients, difficile de continuer à exercer.
Beaucoup ne savent pas comment :
- Être visible localement ou en ligne
- Créer une offre claire et différenciante
- Parler de leur activité sans se sentir "commercial"
Résultat : le bouche-à-oreille ne suffit pas, et on ne vit pas de son activité.
2.3. Une organisation inefficace (ou inexistante)
L'agenda est vide certains jours, surchargé d'autres.
Les relances, la facturation, les annulations, la compta… prennent un temps fou.
On finit par travailler le soir, le week-end, parfois sans se rémunérer.
Et on réalise que ce qu'on voulait fuir dans le salariat (la charge mentale, les horaires non choisis), on l'a recréé… dans notre propre activité.
3. La vraie clé : se professionnaliser… sans se dénaturer
Quand j'ai touché le fond en cabinet, je me suis posé une vraie question :
"Comment continuer à faire ce métier que j'aime… sans m'épuiser ni m'égarer ?"
Et la réponse, pour moi, a été claire : il faut professionnaliser son activité.
Mais attention : pas à n'importe quel prix.
Ce que je veux dire par là, c'est :
- Se structurer sans devenir rigide
- S'outiller sans perdre le lien humain
- Être visible sans devenir "vendeur"
C'est ce que j'ai cherché à construire, et que nous avons modélisé avec mon mari dans un logiciel : Jupi'Terre, le logiciel de gestion pensé spécifiquement pour les praticiens du bien-être et de l'accompagnement.
4. Ce qui change quand on s'outille intelligemment
Depuis que j'ai mis en place une vraie organisation, tout a changé :
✅ Je sais où va mon temps
✅ Mon agenda est équilibré
✅ Je ne cours plus après l'administratif
✅ Je suis plus disponible pour mes clients
✅ Et surtout : je me sens légitime, alignée et sereine
Avec Jupi'Terre, vous pouvez :
- Gérer vos rendez-vous automatiquement
- Suivre votre comptabilité simplement
- Créer un espace personnel pour vos clients
- Être conforme au RGPD en quelques clics
- Organiser vos semaines avec clarté
- Et surtout : vous concentrer sur votre cœur de métier
Parce que le bien-être commence par le vôtre.
5. Vous débutez ou vous vous sentez au bord de l'abandon ? Voici quoi faire
Je vous invite à prendre une vraie pause.
Pas pour abandonner, mais pour réfléchir.
Étape 1 : Regardez la vidéo ci-dessus
C'est un partage honnête et sans filtre.
Je vous raconte comment j'ai vécu cette première année, ce qui m'a aidée à rebondir, et ce que je souhaite aujourd'hui transmettre.
Étape 2 : Faites le point
- Est-ce que je me sens bien dans mon quotidien pro ?
- Est-ce que je suis visible ?
- Est-ce que je gère ou je subis ?
- Qu'est-ce que je peux ajuster dès cette semaine ?
Étape 3 : Découvrez Jupi'Terre
Si vous avez besoin d'un cadre, d'un outil fiable, d'un soutien discret mais présent, alors venez découvrir Jupi'Terre.
Conclusion : ne restez pas seul(e), construisez une activité à votre image
80 % des praticiens abandonnent, oui.
Mais 20 % tiennent, progressent et vivent de leur passion.
Faites partie des 20 %.
Pas en travaillant plus.
Mais en travaillant mieux, avec les bons outils et le bon état d'esprit.
Vous avez choisi ce métier pour une raison profonde.
Offrez-vous les moyens de le faire durer.
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